inapoi la cap. Opinii  

 
 

 


Les métaux lourds et leurs effets sur la santé

 

 PARTEA I-A

 

  

    (Cette conférence à eu lieu à l'école polytechnique de Zürich, le 14 mai 1998)

 

Le Dr  méd.  Dietrich  Klinghardt de Seattle est directeur d'une clinique spécialisée dans le traitement de la douleur à Santa Fe. Il travaille également dans un cabinet spécialisé dans les

maladies neurologiques graves. Il a ainsi découvert les effets dévastateurs des métaux lourds. Il est l'un des pionniers dans le traitement des maladies dues à ces métaux. Il a profité des découvertes géniales du professeur  méd. Y.  Omura de New York.

Il nous propose aujourd'hui un traitement de désintoxication étonnamment simple, à l'aide des trois substances naturelles que sont la  chlorella, l'ail des ours et la coriandre. Ces trois substances, combinées à une acupressure de la main, servent à améliorer l'efficacité des médicaments   chélateurs. La mise en application de ce traitement l'a conduit à des succès percutants.

 

La conférence parlera donc des métaux lourds et de leurs effets sur la santé.  Le mercure vient en première position parmi ces métaux. La part de l’argent, qui est un des constituants de l’amalgame, joue un rôle important, j’en parlerai plus tard.

 

Les métaux lourds ont toujours joué un rôle important dans le développement de l’humanité. Nous avons presque tous étudié à l’école comment les premiers hommes ont appris à couler le bronze pour en faire des armes qui étaient plus rigides que celles des adversaires. Les premiers peuples à maîtriser la coulée du bronze ont été les premiers à gagner la guerre. Ces peuples victorieux se sont dispersés dans le monde et ont transmis leur savoir. Les autres peuples ont été exterminés. Puis arriva l’époque des Romains. Ces derniers apprirent à travailler le plomb. Dans les cercles aristocratiques romains, il était noble de boire dans des tasses de plomb. Bien sûr ces personnes sont tombées malades. Les Romains n’étaient pas décadents de nature, ils étaient simplement empoisonnés par le plomb de génération en génération.

 

Plus tard un changement radical est survenu lorsque le peuple des Huns envahit l’Europe. Les Huns venaient de Mongolie. Ils avaient développé une méthode pour couler le fer. Les armes des Huns avaient des pointes en fer qui traversaient sans peine les uniformes des Romains, d’où leur avantage. Ainsi les Huns conquirent une grande partie de l’Europe en quelques années. Ils massacrèrent un tiers des habitants de ce continent. Durant les deux siècles passés, on a fouillé la terre un peu partout. On en a extrait des métaux, dont le mercure, qui sinon seraient restés enfouis.

 

Cependant,  le mercure est aussi apparu en surface par le volcanisme. La nature est souvent morte dans l’environnement immédiat des volcans. Certains oiseaux, vivant dans ces contrées, ne peuvent pas gagner de combats contre d’autres oiseaux, de la même espèce, venant d’ailleurs.

 

Au début du siècle passé, des Français découvrirent qu’il était possible de créer des alliages contenant du mercure. Ils découvrirent un alliage qui se travaille à température ambiante, et durcit à température ambiante. Ainsi naquirent les premiers plombages. Un nouveau problème apparut : l’empoisonnement des gens, empoisonnement dû aux métaux lourds utilisés en dentisterie.

 

Il est intéressant de savoir qu’aux Etats-Unis, déjà vers 1830, eurent lieu les premières polémiques au sujet des amalgames. Cette façon de faire fut introduite aux Etats-Unis par des hommes d’affaires européens. Un groupe de médecins-dentistes américains se forma. Ils étudièrent, sur leurs patients, les conséquences de l’utilisation des amalgames. Ils en déduisirent que cela représentait un danger pour la santé.

 

Les patients, en effet, pouvaient être atteints de maladies touchant le système nerveux. Chaque dentiste ayant utilisé de l’amalgame perdit sa licence. Vers 1850, les dentistes ayant perdu leur licence se regroupèrent et formèrent une association : l’American Dental Association. Cette association existe encore aujourd’hui et elle représente le seul groupe organisé chez les dentistes américains. Les dentistes membres de cette association menèrent une guerre sans fin contre ceux qui leur avaient enlevé leur licence.

En fait, il ne s’agissait pas d’arguments scientifiques, mais uniquement de puissance politique. L’utilisation de l’amalgame s’est développée en raison de son bas prix. Certains dentistes travaillèrent avec le ciment et l’or. Le ciment ne tenait pas longtemps et l’or était cher. Notons au passage que les obturations en or actuelles ne sont pas différentes de celles qu’on posait il y a 150 ans. Elles étaient posées avec la même dextérité qu’aujourd’hui. Cependant le commun des mortels désirait des obturations bon marché. En fait, pour les dentistes de l’American Dental Association, ce fut une victoire politique, mais pas scientifique.

 

Le problème des amalgames est apparu réellement au grand jour il y a 12 à 15 ans avec l’apparition d’une littérature scientifique massive affirmant que l’utilisation de l’amalgame est nuisible, et ce pas seulement chez les patients sensibles. Les gens ici présents savent tous que l’amalgame est nocif. Qui d’entre vous doit être convaincu que l’amalgame est nuisible ? (Une personne lève la main dans la salle)

 

Je ne sais pas quelles sont vos connaissances dans ce domaine, mais je vais vous présenter la littérature mondiale des dix à douze dernières années. D’abord qu’est-ce qu’un amalgame. C’est un alliage composé de 50 % de mercure, 30 % d’argent, 9 % d’étain, 6 % de cuivre et un peu de zinc, selon la fabrication.

Il est à noter que l’argent est aussi nocif que le mercure car il est plus responsable de maladies auto-immunes que le mercure.

 

Le premier mythe fut que le mercure était fortement fixé dans l’alliage formé par l’amalgame; il ne pouvait donc s’en séparer. Un de mes amis a été le premier à utiliser un détecteur de vapeurs de mercure. Il a mesuré les émanations sortant de la bouche des patients porteurs d’amalgames. J’ai moi-même procédé à ces mesures et le résultat, chez mon premier patient, dépassait de 480 fois la valeur admise par les normes de l’industrie. Chaque fois qu’il mâchait,  il inhalait 480 fois plus de vapeurs nocives que la norme industrielle américaine ne le permet. Remarquons que, même s’il respirait par le nez, il inhalait une dose non négligeable de vapeurs nocives. Cela m’a stupéfait. Je me suis dit qu’avec une valeur si haute, les effets sur la santé ne pouvaient pas être négligeables. J’ai cherché un maximum d’articles sur le sujet dans la littérature existante. J’ai été étonné d’en trouver autant.

(Le conférencier se déplace vers une table)

Si je mets un peu de mercure ici, sur cette table, que vais-je trouver dans une semaine ?

Plus rien, le mercure se sera évaporé à température ambiante. Les vapeurs sont inodores mais pas inoffensives, car elles n’ont rien perdu de leur toxicité. Chez mes patients chroniquement malades, j’ai pu mesurer une émanation de mercure plus forte que chez d’autres patients.

Les patients qui ont enlevé leurs amalgames depuis bien longtemps exhalent encore des vapeurs de mercure. J’ai pu constater cela et je tiens à préciser qu’il n’y avait pas d’amalgames dans le cabinet où j’ai effectué ces mesures. C’était la première fois que je constatais une relation entre maladies chroniques et empoisonnement à l’amalgame. Ce fut le début de longues recherches.

Je vais à présent vous donner un aperçu de ce que l’on trouve à ce sujet dans la littérature

parue ces dernières années.

 

(Le conférencier utilise un rétroprojecteur)

Voici une liste, publiée par un chercheur de Floride. Il a rassemblé un maximum d’articles et a mis en évidence tous les symptômes de maladie chronique directement liés aux empoisonnements au mercure.

Tous les métaux sont neurotoxiques. L’effet premier de ces métaux est donc d’endommager le système nerveux. Par exemple les insecticides et les pesticides sont des substances cancérigènes de premier ordre, elles ont un effet dévastateur sur les gènes, alors qu’au départ ce ne sont pas des neurotoxiques.

Lors d’autopsies faites sur des défunts morts du cancer, on a pu trouver une quantité trop élevée de mercure au coeur des tumeurs, comparativement aux quantités mesurées dans le reste du corps. Nous soupçonnons le fait que bien des tumeurs s’organisent autour d’un dépôt de métaux lourds. Ils sont cofacteurs de développement de tumeurs. Il existe quelques articles dans la littérature spécialisée qui vont dans ce sens.

Maintenant nous allons énumérer les effets des métaux lourds

 

sur le système nerveux central. Leurs symptômes sont :

n  irritabilité

n  peur

n  nervosité

n  inquiétude

n  instabilité émotionnelle

n  perte de confiance

n  timidité (symptôme principal chez les adolescents)

n  indécision

n  perte de la mémoire immédiate

n  toutes les sortes d’insomnies

n  dépression

 

Passons aux symptômes neurologiques :

n  fourmillement des mains

n  sentiment de brûlure constante avec endormissement des membres inférieurs

    (symptôme caractéristique des perturbations dues au mercure)

n  léger tremblement des mains

Les trois symptômes ci-dessus nous indiquent que l’état du malade va bientôt s’aggraver.

 

Dans la région de la tête :

n  saignement des gencives

n  gencives qui se retirent mettant l’os du maxillaire à nu

n  dents qui bougent

n  mauvaise haleine

n  sentiment de brûlure sur les lèvres, la langue et le visage

n  abcès buccaux

n  vertiges

n  sifflement dans les oreilles

n  troubles de l’audition

n  difficultés oculaires (baisse de la vision des contrastes et des couleurs dues à des dépôts de métaux lourds dans le cervelet)

 

Dans le secteur digestif :

n  allergies alimentaires, particulièrement aux oeufs et au lait

n  coliques

 

Les symptômes cardiaques :

n  arythmie (due aux dépôts de métaux lourds dans les nerfs commandant l’activité

   cardiaque

n  problèmes de pression (à ce sujet une étude à long terme effectuée sur 10’000 patients

   démontre qu’après six mois de traitement au DMPS, c’est un chélateur, les problèmes

   de pression avaient disparu et que le taux de cholestérol s’était normalisé).

 

(L’orateur passe à la suite de son document)

Il faut relever que des maladies telles que des infections virales, des mycoses, la tuberculose, le cancer, la sclérose en plaques, les maladies auto-immunes, les dérèglements de la glande thyroïde, certains maux de tête, certaines allergies, certains problèmes dermatologiques, pieds et mains froids (symptôme important), suées nocturnes, sont dues à la présence de mercure.

 

D’autre part, on peut citer les maladies provoquant des douleurs chroniques telles que migraines, douleurs dorsales, aux épaules, au visage, lumbago, sciatique (il faut cependant dire que toutes ces maladies ne sont pas obligatoirement dues au mercure).

La différence entre des douleurs subites, qui peuvent durer six semaines mais finissent par s’arrêter, et des douleurs persistantes qui durent plus de six mois voire six ans, est la présence de métaux lourds dans le système nerveux. J’ai essayé de publier cette vérité, malheureusement sans trouver personne qui soit d’accord de le faire. Il s’agit d’un sujet brûlant. Trop de gens gagnent bien leur vie en vendant des  "drogues" qu’il faut prendre à vie. Les anti-douleurs et les médicament anti-rhumatismaux sont également à prendre à vie. Cependant le traitement de désintoxication des métaux lourds ne dure que de six mois à deux ans. Ainsi peu de gens auraient encore la possibilité de bien gagner leur vie dans la vente des médicaments.

 

Remarquons qu’il y a un fort déséquilibre entre la mise à disposition des moyens financiers pour la recherche clinique des anti-douleurs en général d’une part, et pour la recherche clinique de la désintoxication des métaux lourds d’autre part.

Nous avons aussi les maladies rénales chroniques, la fatigue générale, le manque d’appétit, les problèmes d’obésité ou au contraire de perte de poids (autant l’une que l’autre), l’hypoglycémie pour n’en citer que les principales.

(Le conférencier change de document)

 

Le livre le plus important au monde traitant du sujet qui nous intéresse est, sans conteste, celui-ci :  "Mercury and its effects on environnement and biology" écrit par A. Et H. Ziegel de Bâle. Les deux auteurs sont des scientifiques, ils ne sont pas dentistes.

 

Dans le domaine scientifique, on compte plus de 9000 publications par mois. Elles sont classées selon leur degré de qualité par l’OMS entre autre. Dans les 1000 premières, on ne trouve aucune parution liée à la dentisterie. Par contre, parmi les 20 premières, on en trouve parlant du mercure. Tout ce que l’on peut trouver d’écrit, publié par des associations de dentistes, affirme que les amalgames ne sont pas dangereux. Ces écrits n’ont pas de valeur clinique mais sont des affirmations professorales. Il y a deux méthodes scientifiques de procéder :

 

n  la première étudie le comportement de deux groupes, un groupe témoin et un groupe

   testant le médicament. On en tire des conclusions.

 

n  la seconde, appliquée seulement encore en Europe, consiste en un congrès d’experts

   qui aboutissent à une conclusion. (Le conférencier plaisante) : d’après une conclusion

   d’experts, d’après ma conclusion, les amalgames ne sont pas dangereux car ils sont

   utilisés depuis 160 ans et l’humanité existe toujours.

 

Il n’existe aucune publication mondiale démontrant que les amalgames ne sont pas dangereux. J’ai fait des recherches coûteuses et je n’en ai trouvé aucune allant dans ce sens. Il n’y a que des opinions d’experts affirmant que les amalgames sont sans danger.

Plus de 10’000 publications scientifiques démontrent que les amalgames sont très nuisibles, et ceci pas seulement pour des gens sensibles. Nous sommes en présence de deux camps. Le premier est constitué par ce qu’on pourrait appeler la science. Le deuxième par la médecine traditionnelle ainsi que la médecine dentaire.

Le deuxième camp s’est développé parallèlement à la science, utilisant cependant certaines conclusions de cette dernière. La médecine traditionnelle et la médecine dentaire ne se sont pas adaptées à ces découvertes scientifiques. Il y a toujours un décalage de 40 - 60 ans entre les découvertes scientifiques et leur application, à moins qu’il n’y ait la possibilité de gagner de l’argent. C’est la triste vérité ; je ne suis pas venu ici en tant que politicien, mais pour la bonne compréhension des gens ne faisant pas partie du monde scientifique, il était important d’en dire un mot.

 

Tirés de ce livre, quelques faits importants :

Avant de continuer, une précision : je prends le mercure comme exemple, mais l’étain et l’argent ont la même importance. Voici quelques arguments : en moyenne, on compte 8 amalgames par bouche, ce qui entraîne un dépôt journalier de 15 - 17 mgrammes de mercure dans le corps, particulièrement dans le cerveau et les centres nerveux. Le corps reçoit environ 2 mgrammes de métaux lourds par la pollution de l’air d’une part, en mangeant du poisson d’autre part. On s’est demandé si les gens empoisonnés ne l’étaient pas à cause de la pollution ou encore parce qu’ils avaient mangé du poisson. On sait aujourd’hui que 2 mgrammes viennent de l’environnement et 15 - 17 mgrammes des amalgames en bouche. Cela nous permet de dire qu’en Europe, mis à part des catastrophes comparables à celle de Miamata, on peut momentanément négliger la pollution de l’environnement.

Il existe deux sources principales de pollution au mercure :

1° les plombages

2° la mère.

Je m’explique : le corps de la mère utilise le foetus comme "poubelle" pour se débarrasser de ses propres métaux lourds. Des quantités importantes de mercure passent du corps de la mère au foetus. On trouve aussi beaucoup de mercure dans le lait maternel. Cet empoisonnement du jeune enfant a pour conséquence une croissance diminuée, un plus petit cerveau, un système immunitaire et un poids corporel réduits. Ainsi nous sommes tous, ici présents, à quelques rares exceptions près, des victimes du mercure et nous n’avons jamais atteint notre potentiel. Cependant, une meilleure alimentation fait que la génération des enfants actuelle a plus de chances d’avoir de meilleures dents. De plus il arrive maintenant que des mères n’aient pas d’amalgames. En fait, deux générations sont principalement touchées par ce problème. Il faut ajouter que les amalgames du père ont génétiquement aussi leur importance.

 

Le mercure peut exister sous 3 formes dans le corps :

 

n  le Hg0, celui qu’on trouve dans les thermomètres, qui est métallique

 

n  le Hg1, ou mercure organique, lié au poisson. Il nous vient aussi des plombages lors de

   la déglutition. En effet, ce sont certaines bactéries qui transforment le mercure

   métallique en mercure organique. Notons que sous cette deuxième forme, il est environ

   50 fois plus toxique que sous la forme métallique

 

n  le Hg2 qui est une forme inorganique du mercure. C’est sous cette forme qu’il se

   dépose dans les dents.

 

    Encore quelques remarques :

 -->    la pollution au mercure a été provoquée par l’homme

 

 -->    les vapeurs de mercure sont facilement solubles dans les matériaux hydrophobes tels

   que les lipides. Les membranes cellulaires ne présentent pas de barrière contre les

   vapeurs de mercure. Le métal atteint ainsi le cerveau sans problèmes

 

 -->    le Hg2 se lie à différentes structures dans la cellule

 

 -->    on a pu établir un lien entre le mercure et la maladie d’Alzheimer. En effet, lorsque le

   mercure arrive dans les cellules nerveuses, il provoque les mêmes réactions que celles

   provoquées par la maladie d’Alzheimer. Lors d’autopsies du cerveau faites sur des

   personnes décédées de la maladie d’Alzheimer, on a mesuré quatre fois plus de

   dépôts de mercure et deux fois plus de dépôts d’aluminium dans leur cerveau que dans

   celui de personnes mortes de mort naturelle. Grâce à notre traitement de

   désintoxication, nous avons pour la première fois eu du succès dans l’amélioration du

   traitement de la maladie d’Alzheimer.

   Brièvement, quelques faits tirés de la littérature mondiale :

 

 -->    en 1990, on a testé les effets de l’amalgame sur des moutons. Pour ce faire, on leur a

   posé des amalgames. Sur les six moutons, après une demi-année, on a constaté une

   baisse de l’activité rhénale d’environ 60 %.

 

 -->    selon une étude allemande, les aides-dentaires ont une baisse de fertilité allant jusqu’à

   60 % comparée à d’autres employées occupées dans d’autres métiers.

 

 

Continuons avec la célèbre étude sur les singes. L’ADA (American Dental Association), rappelez-vous pourquoi elle était née, a prétendu que la comparaison entre les moutons et l’homme était rréaliste. On aurait dû faire cette étude sur des rats. Voulant être reconnus, nous avons recommencé l’expérimentation, cette fois-ci sur des singes. Nous avons marqué le

mercure radioactivement pour savoir, de façon sûre, où il allait se déposer. Plusieurs choses

importantes sont à relever dans cette étude :

 

 -->    après quatre semaines, on a trouvé des dépôts de mercure dans les ganglions

   lymphatiques, dans les organes digestifs, dans les reins, particulièrement beaucoup

   dans la glande thyroïde, dans le cerveau, l’hypothalamus et l’hypophyse, dans le

   système lymphatique, dans les ganglions spinaux.

 

 -->    un an plus tard, on a passé de nouveau les singes au scanner et, quelle surprise,

   malgré la théorie de la demi-vie des métaux lourds, les dépôts avaient augmenté.

Une seconde étude, avec des singes auxquels on enleva les amalgames, démontre que le

facteur temps n’améliorera rien. Cela me permet d'affirmer que "une fois empoisonné =

toujours empoisonné". Malheureusement, aucun éditeur n’a voulu publier cette étude. Cela

donnerait trop de matière à procès.

Passons à une autre étude, elle a provoqué beaucoup de remous.

On compte environ 200 sortes de bactéries dans la bouche, et d’innombrables dans le tube

digestif. Ces bactéries sont résistantes au mercure. Notons que la médecine utilise du mercure

pour tuer les bactéries dans le traitement du tétanos (vaccins). Ces bactéries sont devenues

résistantes aux antibiotiques. Jusque vers 1990, on ne connaissait qu’une chose qui les

rendait résistantes : répéter plusieurs fois un traitement aux antibiotiques. Si un patient prenait

plusieurs fois de la pénicilline, ses bactéries devenaient résistantes à la pénicilline.

On a constaté que les bactéries peuvent devenir plus résistantes en "s’entraînant" avec le mercure. De plus, par un procédé compliqué à expliquer ici, les bactéries résistantes sortant de la bouche d’un patient peuvent communiquer leur résistance à d’autres bactéries présentes dans l’air ambiant. Ceci a été une grande révélation qui a fait dire au gouvernement américain qu’il fallait informer le peuple. On risquait des épidémies qui ne seraient plus contrôlables, par manque d’antibiotiques efficaces.

Passons à un autre aspect du problème et posons-nous la question de savoir par quel procédé les métaux lourds sortent des plombages. De plusieurs façons :

 

 -->    le mercure s’évapore et pénètre dans les tissus par la respiration

 

 -->    il passe des poumons dans le sang et se dépose ainsi à plusieurs endroits du corps

 

 -->    à partir de la muqueuse buccale, il passe directement dans les vaisseaux lymphatiques

 

 -->    les veines du maxillaire supérieur le conduisent directement au cerveau et, à partir de

  là, dans le corps.

 

 

Maintenant un peu d’anatomie

(Le conférencier explique le fonctionnement d’une cellule nerveuse à l’aide d’un schéma)

Si on observe une cellule nerveuse, on peut voir d’un côté le corps cellulaire, de l’autre la synapse, les deux étant reliés par un axone. Dans ce canal on trouve de petits tubes ressemblant à des câbles. Si le mercure entre de façon constante dans le système nerveux, il a la fâcheuse propriété de ne plus pouvoir en sortir. La synapse laisse passer toutes sortes de matières. Ces dernières informent ou nourrissent la cellule. Le mercure détruit les "ponts" d’entrée et de sortie.

(Le conférencier change de document. Il projette un schéma montrant la tête et les principaux nerfs dans la région de la cavité buccale)

Lors d’autopsies, on a pu constater que les nerfs principaux desservant le maxillaire inférieur

étaient saturés de métaux lourds. Ces métaux empruntent également le chemin des nerfs du

maxillaire supérieur pour atteindre le cerveau. On a pu démontrer, grâce à l’étude faite sur des

singes, que lorsqu’on pose un amalgame dans le maxillaire supérieur, le mercure ne met que 24 heures pour arriver au cerveau.

Si on observe les tissus conjonctifs dans le corps, on voit qu’un embranchement du nerf va à la paroi de la cellule et l’ouvre ou la ferme. Ces canaux ioniques sont soumis aux lois électriques, ce qui signifie que, selon le voltage, le canal ionique s’ouvre ou se ferme. Les canaux ioniques peuvent être "pilotés" par les hormones et par d’autres substances.

(Le conférencier projette un schéma montrant les canaux ioniques dans les parois cellulaires)

 

C’est par le canal ionique que le mercure entre dans la cellule. C’est également par ce chemin qu’il devrait en sortir lors de désintoxication. Mais le mercure entre dans la cellule par le canal ionique et le ferme.

Il peut donc se déposer dans les parois des vaisseaux, dans les tissus environnants, dans les parois de la cellule et dans la cellule. Pour le faire sortir, lors d’une cure de désintoxication, on procède par étapes.

Lorsque qu'il arrive dans l’organisme, le mercure s’y disperse, privilégiant cependant certains

endroits précis où on le trouve en plus grande concentration. Les sportifs de haut niveau ne peuvent pas avoir de mercure dans leurs muscles, ces derniers étant trop utilisés.

 

De ce fait, on trouve un haut pourcentage de sclérose en plaques chez ces personnes. Ne pouvant se fixer dans les muscles, le mercure migrera ainsi essentiellement dans les cellules nerveuses.

Notons que, chez les autres personnes, le mercure est réparti de façon plus ou moins régulière dans le corps.

 

A présent, je vais vous parler des différentes erreurs que l’on peut commettre en essayant de

désintoxiquer un malade. Prenons le cas d’un patient dont le système nerveux est encore assez peu atteint, mais dont les autres tissus contiennent déjà des métaux lourds. Il peut être très dangereux d’utiliser un chélateur dans ce cas. En effet le mercure, lié au chélateur risquerait, transporté par ce dernier, d’entrer dans les cellules nerveuses du cerveau. Si les étapes de la chélation ne sont pas suivies consciencieusement, on met la vie du patient en jeu. D’où l’importance d’une bonne compréhension du fonctionnement de la chélation.

 

Lorsque l’on commence un traitement par chélation, il faut d’abord créer un gradient osmotique

(gradient = variation progressivement décroissante à partir du point maximal d’une substance ou d’une propriété physiologique dans une cellule ou un organisme). Ceci afin d’enlever un maximum de mercure avant qu’il ne parvienne au cerveau.

Ainsi, une fois administré, le chélateur, ne trouvant rien à nettoyer dans les tissus, ira agir dans

les cellules du cerveau. Il ouvrira ainsi, à l’aide d’autres substances,  la barrière au mercure lui

permettant, par osmose, de se répandre à nouveau dans les autres tissus qui eux, sont beaucoup plus faciles à nettoyer. Ainsi, il est important de respecter l’ordre suivant dans les étapes : nous administrons d’abord des substances qui nettoient les vaisseaux sanguins, sortant ainsi les métaux lourds du corps. Pour ce faire, nous utiliserons deux substances :

 

  1° L’ail, qui se lie facilement au mercure et fait sortir ce métal des reins et du sang. Mes

  expérimentations m’ont conduit à découvrir que l’ail des ours est  mieux supporté par    l’organisme, ne provoquant quasiment pas d’effets secondaires.

   2° La chlorella qui est la championne mondiale pour nettoyer l’organisme. Tirée d’un livre, voici une liste des principaux métaux emportés par la chlorella :

  cuivre, plomb, zinc, mercure, cadmium, nickel, cobalt, arsenic, chrome, calcium, métaux radio- actifs,  plutonium, polonium et autres métaux précieux.

 

Dans ce livre, les substances ayant une grande affinité avec le mercure sont classées dans

l’ordre suivant :

   1) La chlorella

   2) Les candidoses (maladies provoquées par des champignons du genre Candida)

   3) Les streptocoques et les staphylocoques

   4) Certains vers, le ver solitaire par exemple

 

Tout ce qui précède m’a permis d’établir la thèse, elle se discute actuellement dans le monde médical, que les maladies infectieuses sont très souvent une tentative du corps pour se défendre contre le mercure, particulièrement dans le cas des candidoses. Le système immunitaire conduit le corps à produire des microchampignons ayant pour fonction de se lier au mercure. Le corps se débrouille mieux avec ces microchampignons qu’avec des dépôts intra ou extracellulaires. Ainsi les maladies dues à ces microchampignons se présentent sous un jour nouveau. Un chercheur japonais vivant à New York, le docteur Yoshiaki Omura, a trouvé une relation entre les maladies virales et bactériennes et les dépôts de mercure. Il n’y a pas d’herpès sans dépôts de mercure. Cette constatation est aussi valable pour d’autres maladies infectieuses, la mononucléose par exemple. Tout ceci nous permet d’appréhender le problème des maladies infectieuses d’une toute nouvelle façon.

 

                   continuare  partea II-a >>>>>>

 

 

 

Sursa: "Homéofrance"

Conversie din pdf si sublinieri: Dr. Ioan Teleianu

 

 

 

 

 

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